St. Nicolas – le dernier tsar russe


St. Nicolas – le fondateur et le protecteur de l’église de Białowieża et, au même temps, le dernier tsar de l’Empire russe fut né en 1868. Le futur souverain de l’Empire russe était un enfant très pieux et humble. Ces traits le cacractérisaient aussi tout au long de sa vie adulte. Le fait que plus de 10 milles églises et plus de 250 monastères furent construits pendant son règne, peut être lu comme un exemple de son grand dévouement pour le Dieu. L’inégalée réligiosité du dernier tsar était accompagnée d’une autre vertu chrétienne- la humilité. Dans des lettres adressées à sa femme, le tsar écrivait : « Dieu sait ce qui est bon pour nous, alors nous dévons incliner nos têtes et répéter sa sainte parole « Que Ta volonté soit faite » ».

Nicolas fut couronné le tsar en 1894, peu après la mort de son père- Alexandre III. Le nouveau tsar commença son règne avec un grand espoir qu’il est possible de renoncer à la violance dans les relations internationales. De son initiative fut organnisée la première Conférance de Paix à la Haye dont le sujet principale était la réduction des armements et la création d’un système pacifique de solution des conflits. La conférance de La Haye donna le début à la Ligue des Nations.

En 1894 Nicolas II maria la princesse de Hess- Alix. L’ impératrice embrassa l’Orthodoxie avec son nouveau prénom d’Alexandra. Dans peu de temps les enfants du couple royale commencèrent à venir au monde : Olga (1895), ,Tatiana (1897), Maria (1899)Anastasia (1901), ainsi que le descendant très attendu- Alexeï (1904).

Tsar Nicolas II était iniciateur principale de la cannonisation du St. Séraphim de Sarov, un des saints russes les plus vénérés. Lors des cérémonies de canonisation, le 19 juillet 1903, un événement très inattendu se produit. Ce jour- là on donna au tsar une lettre lui adressée de St. Séraphime et écrite 70 ans auparavant. Le tsar lut la lettre. Son contenu produit sur lui un grand effet. Bien que le contenu de la lettre ne fut jamais dévoilé au public, on suppose qu’il concernait le destin de la Russie dont le tsar devait être témoin et victime.

St. Nicolas fut assasiné avec sa famille et ses servants le 4 juillet 1918 à Ekaterinbourg sur l’ordre du pouvoir soviétique qui emprisonnait la famille royale. Cette nuit tragique, on ordonna aux prisonniers de s’habiller et de se préparer pour un long voyage. Ensuite on les fit descendre dans une cave, où ils devaient attendre l’ordre de départ. Le tsar fut assis dans un grand fauteuil au milieu de la pièce et tenait dans ses bras le tsarévitch souffrnat de hémophilie. Sa femme et ses filles se tenaient debout derrière lui.

Les assassins entrèrent dans la cave et commencèrent à tirer sur la famille. Nicolas II et sa femme périrent sur le champ tandis que les enfants furent seulement blessés. Les communistes utlisèrent les crosses de fusil pour les tuer. Les cadavres furent transportés dans le voisinage d’une mine dans la forêt près de la ville. Là on découpa les corps, ensuite on les empila. Les boureaux arrosèrent les cadavres de l’essence et y mirent le feu. Deux jours passés, les restes des corps les assasins jetèrent dans la mine et y lancèrent deux grenades. Après tout, le lieu de crime fut mis en ordre pour que personne ne puisse le retrouver.

La chute du communisme et la fin des persécutions de la religion dans l’Union soviétique a permis à l’Eglise orthodoxe russe d’ouvrir le processus de la canonisation de la dernière famille royale. En 2000, après 8 ans des recherches détaillées ménées par une commission spéciale à la tête de laquelle se trouvait l’évêque Juvenalij, on a décidé de canoniser le tsar ainsi que sa famille martyre. Dans le document final « La commission avoue que la mort de l’empereur Nicolas II et de sa famille ne peut pas être considérée comme le martyre pour le Christ. Sur la base des circonstances de la mort de la Famille Royale on a décidé de la cannoniser en tant que les martyres- « strastotierpcy » donc en tant que martyres qui ont enduré des souffrances avec patience et résignation de façon chrétienne. Dans la tradition liturgique et hagiogrpahique de l’Eglise orthodoxe russe le mot « strastotierpiec » désigne ceux des saints russes qui à l’image du Christ ont souffert avec humilité et patience les souffrances et la mort leurs infligées de la part de leurs ennemis politiques. Bien que Nicoloas II soit tué pour des raisons politiques et pas religieuses, il est un martyre conformement à une ancienne tradition russe. Pour l’ Orthodoxie russe ce qui compte vraiment ce ne sont pas les intentions des assassins mais les intentions (…) de la victime. Si elle accepte son sort pour des raisons religieuses, si elle s’y soumet avec une humilité chrétienne- elle est martyre » (T. Terlikowski).

www.oca.org, www.opoka.org.pl

Michał Korch

Tak jak na drabinie pierwszym stopniem jest oderwanie się od ziemi, tak też w życiu Boskim początkiem sukcesów jest odejście od zła.
św. Bazyli Wielki
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